Le Forum

Bonjour, je vous prévient juste qu'il y a une faute dans le dernier couplet du morceau quatre vingt quinze pour cent : "en vérité" est à remplacer par " en général".

Cordialement

C'est exact. Brassens a écrit :

C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont

En général que de pieux mensonges.

Et s'il y a une faute ici , pour faire bonne mesure il y en a deux dans le message.

Je vous prévienS et il s'agit de l'avant dernier couplet.

Désolé, mais vraiment il n'y avait de ma part aucune intention antipathique. Encore moins de vengeance. Oui un clin d'oeil en quelque sorte car cette première phrase m'a fait tout simplement sourire: je vous prévient --> il y a une faute. Alors c'est vrai que j'ai fait une erreur de trouver une autre faute qui n'en était pas une, et donc que c'était vraiment une faute de ne pas avoir trouvé que c'était une erreur. Jacques veillait. Merci.

Les fautes d'orthographe, j'en fais, d'autres aussi. Dans une autre vie, quand j'étais restaurateur la spécialité de la maison c'était justement les fautes, il y en avait plein le menu.

Après la révolte des accents d'Eric Orsenna, je n'ai pas en projet d'écrire celle des voyelles et consonnes.

C'est fou ce qu'on est d'accord !
Pour ma part, malade du juste mot et du respect de la syntaxe, j'ai beau me lire, me relire et même me re-relire, j'en laisse toujours passer au moins une. J'en suis malade rien que d'y penser. Je mets ça sur le dos des doigts qui s'emmêlent les crayons, de la lettre qui est restée coincée dans le clavier, de la vue qui baisse et des lunettes qui compensent mal les outrages oculaires du temps ou que sais-je encore, tous les prétextes sont bons.
Alors, je suis devenu tolérant quand je me rends compte que les fautes ou erreurs peuvent être induites par un manque d'attention ou qu'il s'agit manifestement d'une faute de frappe.
En revanche, quand je me promène sur certains forums, je prends un malin plaisir à allumer tous ces crétins incultes et "feignants" qui camouflent leur méconnaissance complète des règles élémentaires de notre langue derrière une volonté de simplification prônée même par certains linguistes qui me font gerber. Mais là, je fais vraiment gaffe aux retours de manivelle.
Putain, ça m'énerve !
Bon, je me calme...

Amitiés à tous et vive éternellement Tonton Georges.