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Ni dieu Ni maître | |
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Ecrit par Mélisse | le 25 février 2010 |
Superbe site. Ca fait vraiment très plaisir, mais un petit bémol tout de même. Est-il de bon ton de donner à Brassens le titre de Maître, alors que justement il a chanté et défendu toute sa vie le fameux : "Ni dieu ni Maître". Merci tout de même et longue vie à ce site, Olivier
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Re : Ni dieu Ni maître | |
Ecrit par Sigismond | le 25 février 2010 |
Le Brassens Anar c'est vraiment dans ses jeunes années. Ensuite on ne peut pas dire que notre bon Georges se fit remarquer par ses prises de position anarchistes. Il fut particulièrement taiseux en 68, période pourtant favorable à l'expression de thèses extrêmes. Finalement le poète l'à emporté sur le militant; qui s'en plaindrait. | |
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Re : Ni dieu Ni maître | |
Ecrit par copains d'accord's | le 25 février 2010 |
Taiseux ne me semble pas très bien choisi. Je préfèrerai calculateur. Brassens avait comme Joséphine Baker deux amours, la poésie et les mathémathiques. Alors en 68 pendant que les étudiants battaient le pavé, et le lançaient aussi, Brassens lui faisait des calculs (rénaux). Bon, pour les mathématiques je retirerai un amour. Et à sa façon, Brassens a chanté 68, non pas avec une de ses chansons, mais en nous faisant découvrir les oiseaux de passage de Jean Richepin. Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux Et quelques années plus tard, le boulevard du temps qui passe. Cette chanson a illustré bon nombre de reportages consacrés à mai 68. Pour en revenir au bon maître, lui même dans la supplique qualifie ainsi Paul Valéry. Qui ensuite l'a appelé ainsi, je ne sais pas. Je me sens plus proche en l'appelant tonton Georges. | |
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Re : Ni dieu Ni maître | |
Ecrit par Janus | le 28 février 2010 |
Bizu, c'est un maître ès arts | |
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