{title: VÉNUS CALLIPYGE} {pause: 20} {time: 224} {comment: Paroles & Musique : Georges Brassens} [F]Que jamais l'art abstrait,[F7] qui sévit mainte[Bb]nant, [Gm7]N'enlève à [C7]vos a[F]ttraits [Dm]ce vo[Gm]lume [C7]éton[F]nant. [F]Au temps où les faux culs[F7] sont la majori[Bb]té, [Gm7]Gloire à ce[C7]lui qui [F]dit [Dm]toute [Gm]la [C7]véri[F]té ! [C]Votre dos perd son [G7]nom avec si bonne [A]grâce, Qu'on [Am]ne peut s'empê[D]cher de [Am]lui donner rai[D]son. [G7]Que ne suis-je, madame, un poète de [A]race, Pour [F]dire à [G7]sa lou[C]ange [A7]un i[Dm]mmor[G]tel bla[E]son. [F]Pour dire à [G7]sa lou[C]ange [A7]un i[Dm]mmor[G7]tel bla[C]son. En le voyant pas[G7]ser, j'en eus la chair de [A]poule, En[Am]fin, je vins au [D]monde et, [Am]depuis, je lui [D]voue [G7]Un culte véritable et, quand je perds aux [A]boules, En [F]embra[G7]ssant Fan[C]ny, [A7]je ne [Dm]pens[G]e qu'à [E]vous. [F]En embras[G7]sant Fan[C]ny, [A7]je ne [Dm]pens[G7]e qu'à [C]vous. Pour obtenir, ma[G7]dame, un galbe de cet [A]ordre, Vous [Am]devez tortu[D]rer les [Am]gens de votre en[D]tour [G7]Donner aux couturiers bien du fil à re[A]tordre, Et [F]vous de[G7]vez cre[C]ver [A7]votre[Dm] dam[G]e d'a[E]tour. [F]Et vous de[G7]vez cre[C]ver [A7]votre[Dm] dam[G7]e d'a[C]tour. C'est le duc de Bor[G7]deaux qui s'en va, tête [A]basse, Car [Am]il ressemble au [D]mien com[Am]me deux gouttes [D]d'eau. [G7]S'il ressemblait au vôtre on dirait, quand il [A]passe : « C'est [F]un jo[G7]li gar[C]çon [A7]que le [Dm]duc [G]de Bor[E]deaux ! » [F]« C'est un jo[G7]li gar[C]çon [A7]que le [Dm]duc [G7]de Bor[C]deaux ! » Ne faites aucun [G7]cas des jaloux qui pro[A]fessent Que [Am]vous avez pla[D]cé votre [Am]orgueil un peu [D]bas, [G7]Que vous présumez trop, en somme, de vos [A]fesses, Et [F]surtout, [G7]par fa[C]veur, [A7]ne vous [Dm]asse[G]yez [E]pas ! [F]Et surtout, [G7]par fa[C]veur, [A7]ne vous [Dm]asse[G7]yez [C]pas ! Laissez-les racon[G7]ter qu'en sortant de ca[A]lèche La [Am]brise a fait vo[D]ler votr[Am]e robe et qu'on [D]vit, [G7]Écrite dans un cœur transpercé d'une [A]flèche, Cette [F]expres[G7]sion tri[C]viale : « [A7]À Ju[Dm]lot [G]pour la [E]vie. » [F]Cette expres[G7]sion tri[C]viale : « [A7]À Ju[Dm]lot [G7]pour la [C]vie. » Laissez-les dire en[G7]cor qu'à la cour d'Angle[A]terre, Fai[Am]sant la révé[D]rence aux [Am]souverains an[D]glois, [G7]Vous êtes, patatras ! tombée assise à [A]terre : La [F]loi d'la [G7]pesan[C]teur [A7]est dur[Dm]e, mais [G]c'est la [E]loi. [F]La loi d'la [G7]pesan[C]teur [A7]est dur[Dm]e, mais [G7]c'est la [C]loi. Nul ne peut aujour[G7]d'hui trépasser sans voir [A]Naples ; À [Am]l'assaut des chefs-[D]d'œuvre ils [Am]veulent tous cou[D]rir ! [G7]Mes ambitions à moi sont bien plus raison[A]nables : [F]Voir votre [G7]acadé[C]mie, [A7]madam[Dm]e, et [G]puis mou[E]rir. [F]Voir votre [G7]acadé[C]mie, [A7]madam[Dm]e, et [G7]puis mou[C]rir. [F]Que jamais l'art abstrait,[F7] qui sévit mainte[Bb]nant, [Gm7]N'enlève à [C7]vos at[F]traits [Dm]ce vo[Gm]lume [C7]éton[F]nant. [F]Au temps où les faux culs[F7] sont la majori[Bb]té, [Gm7]Gloire à ce[C7]lui qui [F]dit [Dm]toute [Gm]la [C7]véri[F]té !